Il était tard dans la nuit, pas une étoile au loin, une brise légère balayait la cour du château.
Je t'attendais, au milieu de la cour, près de la tente des festivals, à demi ....Bip1...., sous une cape rouge à capuche, à l'écoute du moindre bruit qui annoncerait ton arrivée.
Le coeur palpitant, regardant une dernière fois ces remparts intactes, et ses tours majestueuses, qui bientôt illumineront de mille feux la contée.
Et te voilà, tel un paladin, le visage éclatant, près a partager cette nuit de conflit.
L'esprit fort et la joie des retrouvailles, nous entrions dans la tente, main dans la main.
Il y avait des lampes à huiles un peu partout qui entouraient la tente à l'extérieur, posaient au sol dans une rigole.
A l'intérieur, une couche au centre, parsemée de coussins dorés, et autour de nombreux plateaux dans lequel on pouvait grignoter des fruits secs, des sucreries, des gâteaux issus de lointain pays, acquis au cours des voyages au monde des sables, des fruits du pays des terres, et des boissons provenant des pics de feu.
Nous savions notre dernière heure arrivée avant les festivités. Plus qu'une envie, un désir intense de faire corps avec les flammes. La nuit sera torride, nous étions prêt.
Tu ...Bip2.... ton armure en gardant que ton boxer noir, et je laissa tomber ma cape.
Nous allâmes nous installer confortablement sur les cousins, au milieu des plateaux.
A ce moment, on entendit des cris de félons à l 'horizon, j'avais envoyé mes troupes en congés pour qu'ils soient aux côté de leur famille.
Le temps n'avait pas d'importance, nous rions, je te fis goûter ces bonbons acidulés, en le ....bip3.... sur ...bip4.... et en t'embrassant allègrement. Tu souri, les yeux emplis de joies, et de tes doigts tu déposa sur .....bip4...... un grain de raisin.
NNos fous rires couvraient le craquement du bois, il était temps de se rapprocher, le pas lourd des lâches sans gloire ni honneur arrivaient. D'une étincelle, j'alluma une des lampes à huile posée à l'extérieur, cela déclencha les flammes de l'enfer tout autour de la tente, rendant impossible toute entrée. Je revins à l'intérieur, au centre du toit : comme une ouverture, laissant passer l'air en évacuant la chaleur ambiante. Nos ....Bip5.... ne fit qu'un, nous étions comme de la braise en fusion.
Ce fut une nuit de l'interdit, ....Bip6....
Au levé du matin, certains jonchaient au sol, des idiots qui n'avaient pas vu la poix, ni les crocodiles qui parsemaient la rivière.
Bip1...., nous n'avions pas froid, les flammes entourant la tente s'étaient éteintes avec la rosée du matin. Il était temps de reprendre le chemin, cette nuit avait apporté la gloire et les rubis; et la force de se relever et de se battre. Nous n'aurons de cesse de hanter ce voleurs et ces pilleurs, lâchent ils sont, lâchent et peu glorieux ils resteront.
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Sujet: Sous le feu 