Dame Orane,
De ton soutien, rien ne fléchi,
D'une grande enjambée, tes soldats courent vaillamment sauver les nôtres d'attaques sauvages de bandits de grands chemins
D'humour et de tendresse, tu n'hésites pas a braver les tavernes avec nos chevaliers,
fêtant ripailles avec allégresse.
Et si nous t'avons blessés au cours de ces beuveries avec ces femmes légères,
pardonne nous Dame Orane, nos maladresses.
Au moindre vol, à la moindre bataille, à la force de ton épée,
tu affronte sans peur tous les dangers,
que nos ennemis craigne ton courroux, car il n'y aura pas de quartier ni pitié !
VAE VICTIS ! hurlent en coeur tes soldats sur les félons